Doté d’une curiosité insatiable, Mathis est fasciné par le potentiel de l’astronomie à répondre aux questions fondamentales de l’expérience humaine. Lors de son premier stage de recherche à l’iREx, il a détecté quatre espèces chimiques dans l’atmosphère de la Jupiter chaude WASP-189 b. Il a ensuite entrepris une thèse de premier cycle visant à étudier la composition atmosphérique des planètes TRAPPIST-1 b, e et f. En tant que lecteur assidu de science-fiction, il est enthousiaste à l’idée de contribuer à la recherche de biosignatures sur des exoplanètes potentiellement habitables.
Cet été, Mathis poursuivra ses travaux sur les planètes du système TRAPPIST-1, ayant tout juste terminé un baccalauréat en physique à l’université McGill. Sous la supervision du professeur Nicolas Cowan, il prévoit analyser des observations spectroscopiques à haute résolution pour contraindre l’abondance de H2O, CO2 et CH4 dans leurs atmosphères.